Problèmes insolubles ou incompréhensibles

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M.C. ESCHER - Relativité (1953) - Lithographie

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Pardon pour l'absence de billets depuis plusieurs jours... C'est le boulot qui est chronophage en cette fin d'année scolaire !
Et puis en ce moment, l'actualité politique m'ennuie ou me laisse perplexe.

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Vous vous passerez donc de ma fine analyse de la crise grecque, puisque j'ai désespérément essayé de comprendre quelque chose, dans le chahut des commentaires contradictoires.
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J'ai aussi fait l'impasse sur le buzz DSK.

Il y a cinq ans, certains ironisaient sur la "bulle médiatique" prénommée Ségolène. Mais pour DSK, personne n'osera dénoncer le "bain moussant" sous les robinets d'eau télévisuels et radiophoniques... Allez comprendre !

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Je n'ai rien à dire sur le nouveau concept de Martine Aubry, "la rose pourpre du care". J'ai lu des avis opposés qui sont tous convaincants, alors...

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Quant au texte de la convention socialiste "pour un nouveau modèle de développement", je lui trouve le défaut de sa qualité : les idées sont consensuelles car elles représentent le Plus-Petit-Commun-Multiple du PS.

C'est déjà bien, mais ce "nouveau modèle" manque cruellement d'idées inédites et avant-gardistes. Je suppose que ce n'était pas le moment de provoquer des débats passionnés !

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Enfin, sur les retraites, c'est le pompon de la complexité, avec des propositions différentes, qui gardent toutes des zones de flou (notamment à l'UMP). Or je sais que le diable est dans les détails...

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Tout ça me fait penser à la phrase d'Alec Douglas-Home (Lord anglais, 1903-1995) :

" Il y a deux types de problèmes dans la vie : les problèmes politiques sont insolubles et les problèmes économiques sont incompréhensibles. "